Pour l’emporter face à Hollande, Nicolas Sarkozy a décidé de prendre le chemin de « l’école buissonnière » en faisant une campagne « au peuple », comme dit son mentor. Et particulièrement de travailler les questions « régaliennes ». Pas de bol, c’est là-dessus qu’on peut lui faire le plus de reproches !
Premier carton rouge, la politique étrangère
On crédite Nicolas Sarkozy d’un bon bilan sur la scène internationale. Mais, ainsi que nous l’écrivions récemment dans « Minute » (n° 2 541), le grand œuvre de « Sarko l’américain » aura été de faire de la France le vassal des Etats-Unis. Cela a commencé avec la réintégration dans le commandement intégré de l’OTAN, suivie de la dislocation
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- Publié dans le numéro : 2558