Vous pensiez que les principales entorses à la laïcité en France étaient ces collèges publics qui suppriment les cours de natation pour ne pas imposer la nudité à des jeunes musulmanes ? Ces salles de sport des lycées publics transformées pendant les récréations en salles de prière mahométanes ? Ces cantines des mêmes lycées où des tables sont interdites aux mangeurs de « halouf » ? Ces élèves musulmans d’écoles d’hôtellerie dispensés de cours d’œnologie ? Ces femmes voilées qui accompagnent les enfants lors de sorties scolaires ou gardent les enfants dans les crèches ? Vous aviez tout faux ! La seule et vraie entorse à la laïcité, celle qui menace notre « vivre ensemble » et les valeurs de la République une et indivisible, c’est la mignonne petite tradition populaire de la crèche de Noël qu’il s’agit d’éradiquer de l’espace public ! Haro sur l’âne et le bœuf ! Haro sur les rois mages ! Haro sur bébé Jésus ! Prochaine étape, le sapin, puis le nom même de Noël auquel nos cousins québécois ont d’ores et déjà renoncé pour ne pas « discriminer » (ces imbéciles se souhaitent désormais un « joyeux décembre », autrement dit un « triste rien »).
Même l’Observatoire de la laïcité reconnaît dans une note parue le 5 décembre dernier que les crèches de Noël s’apparentent davantage à des « traditions culturelles locales » et à une « exposition de courte durée » autorisée par l’article 28 de la loi de 1905 qu’à un « emblème religieux » interdit par la même loi. Cela n’empêche pas les « libres-penseurs » de pulluler sur les plateaux télé comme les escargots après la pluie pour se scandaliser du retour du catholicisme triomphant et hurler au viol manifeste de la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Mais où sont-ils, ces libres-penseurs, quand l’islam-bulldozer enfonce des pans entiers de leur laïcité chérie ?
Bas les masques, ignobles tartufes ! Ce n‘est évidemment pas la laïcité qu’ils défendent mais le christianisme qu’ils attaquent, le but étant de
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