On va finir par ne plus y croire… Les agressions exagérées ou carrément bidon (qui n’ont jamais eu lieu) ont tendance à se multiplier. En général, le coupable désigné à la vindicte populaire est le même : la très vilaine extrême droite. Qui au final n’a rien fait mais comme elle aurait pu, n’est-ce pas…
En avril dernier, l’agression de Wilfred de Bruijn et de son petit copain à Paris avait lancé une intense séquence politico-médiatique contre les violences « homophobes » dont on nous expliquait qu’elles étaient liées au mouvement d’opposition à la loi Taubira. Alors que, dès le début, tout laissait penser que l’on avait davantage à faire à de la petite racaille qu’à des jeunes catholiques, il aura fallu près de six mois pour que les « jeunes de cité » ayant agressé les deux homosexuels soient arrêtés.
On pourrait aussi évoquer les attaques « islamophobes » à répétition dont les associations musulmanes ont assuré la publicité cet été et dont il semble assez évident qu’un certain nombre a été utilisé pour servir des intérêts politico-religieux. Et puis il y a eu, bien sûr, la tragique affaire Méric où l’on a vu – après l’hystérie – la victime principale s’avérer être aussi le principal assaillant. Dès le 12 juin, une semaine après le drame, « Minute » pointait déjà du doigt, dans un dossier étayé, les mauvaises fréquentations de Clément Méric et leurs méthodes