Le Front national de la jeunesse a récemment lancé une grande campagne antiraciste. Contre le racisme anti-Français, précisément. Au lieu de s’emparer d’un sujet de société qui préoccupe près de 60 % de nos concitoyens, les médias ont traité le sujet par le mépris et les moqueries. Passant notamment à la trappe l’éviction d’une consoeur qui avait eu le malheur de témoigner de ses souffrances dans cette campagne. Heureusement, « Minute » est là !
Qui l’eut cru ? Voilà Pierre Desproges mis à la sauce journalistiquement correcte : « On peut compatir à n’importe quoi, mais pas avec n’importe qui ». La preuve par le dédain méprisant avec lequel la caste médiatique française