Carton ? Plastique ? La matière même de la chose est ambiguë. Quant à sa dénomination, elle est des plus délicates. Il ne s’agit pas seulement de la carte bancaire qui nous permet de régler divers achats et de retirer de l’argent liquide au distributeur du coin. L’objet en question peut être aussi l’indispensable carte vitale, voire sa compagne : la carte de votre mutuelle ou de votre « complémentaire-santé ». Ce peut être aussi une de ces innombrables cartes de fidélité aux avantages incertains, voire une carte d’appartenance à une entreprise ou à une association. Enfin, il peut s’agir tout simplement de la carte d’identité réputée infalsifiable.
Ses usages sont multiples : outre le paiement ou la fourniture de liquidités, elle vous permet d’obtenir des soins médicaux ou plus simplement de franchir un tourniquet, à moins que, sous forme de carte de lecteur de la Mazarine (avec une jolie reproduction des armoiries du Cardinal) ou de la Bibliothèque nationale, elle ne vous permette d’accéder aux trésors de la culture.
Ses différentes modalités ne la définissent guère mieux.
Ses usages sont multiples : outre le paiement ou la fourniture de liquidités, elle vous permet d’obtenir des soins médicaux ou plus simplement de franchir un tourniquet, à moins que, sous forme de carte de lecteur de la Mazarine (avec une jolie reproduction des armoiries du Cardinal) ou de la Bibliothèque nationale, elle ne vous permette d’accéder aux trésors de la culture.
Ses différentes modalités ne la définissent guère mieux.