«Nuit calme » avait diagnostiqué la police de Cologne au premier petit matin blême de l’année 2 016. La veille, des milliers de fêtards avaient accompagné le passage de la nouvelle année et tout s’était bien passé. Une belle soirée « multicu » dans la nouvelle Allemagne définitivement lavée de ses péchés. Le chef de la police s’est couché serein et rassuré. Probablement s’est-il endormi en soupirant. Partout dans l’Occident, les chefs de la police sont nerveux les soirs de réveillon. Aux désordres inhérents à l’alcool consommé en trop grande quantité s’ajoute ces temps-ci la crainte de l’attentat. Aussi quel soulagement à l’heure du bilan : quelques bastons probablement, un ou deux comas éthyliques, peut-être une voiture dans un platane. Nuit calme. Le chef de la police a avalé sa tisane et gute nacht.
Mais à mesure que se réveillaient les fêtards, la nuit calme s’est révélée un peu plus agitée, puis franchement agitée pour finir carrément cauchemardesque. Au cours des jours suivants, des dizaines et des dizaines de jeunes filles ont en effet porté plainte pour agression sexuelle ou viol. Les médias d’abord incrédules ont dû très vite se rendre à l’évidence : une épidémie d’un nouveau genre s’était bel et bien abattue sur Cologne au soir du 31, mais aussi sur Hambourg et Stuttgart. Du jamais vu.
Le malaise s’est accentué quand les témoignages et les premières vidéos postées sur Internet, ont dressé le profil sans équivoque des agressées et celui des agresseurs : des jeunes Allemandes d’un côté ; des hommes de moins de trente ans d’origine arabe de l’autre. En groupes de vingt à quarante personnes, ces crevards ont passé leur soirée à traquer les jeunes filles pour les peloter mais également à les dépouiller et parfois à les battre. Au moins deux ont été franchement violées.
« C’était le chaos dans le métro, témoignait l’une d’elle. Il était envahi par des étrangers. Ils ont commencé par nous peloter directement. Leurs mains allaient vraiment partout. J’ai senti un doigt dans chaque orifice de mon corps. J’ai crié au secours et ils se moquaient de moi. Soudain, ils ont enlevé ma veste et essayé de me voler mon smartphone. Mais je n’ai rien lâché. Ils ont fini par me dérober mon rouge à lèvre. » Des hyènes !
Pas d’amalgame avec les 10 000 migrants récemment arrivés à Cologne, a immédiatement prévenu le ministre de l’Intérieur ! Aucune preuve que les demandeurs d’asile soient impliqués dans ces agressions de masse, a ajouté le maire de Cologne ! Et le type physique ? Certainement des vieux Allemands espiègles déguisés en bédouins !
Au fond, tout cela est presque comique. Il fallait les voir ces Germains abrutis avec leurs panneaux Welcome ! Vous les vouliez, vos petits biquets ? Les voilà ! La ferme maintenant !
Plus révoltante que ce pelotage en série est la bêtise collective des Allemands.
Fallait-il être nigaud pour croire que seuls des « corps » entraient en Allemagne, pour reprendre l’expression de Malika Sorel, quand ces corps trimballaient avec eux leur culture, leurs préjugés, leur système de valeur. Fallait-il être crétin pour croire que tous les individus sont les mêmes, qu’ils ont la même vision du monde, qu’ils sont vierges de tout déterminisme culturel et que l’on peut par conséquent les faire cohabiter sans problème !
Ce qui s’est passé le 31 décembre à Cologne est tout simplement un choc de civilisation. Il nous a fallu des siècles, et toute une civilisation dans le dos, pour être capable de vivre au milieu de jeunes occidentales sexy aux manières aguicheuses sans leur sauter dessus. Et on voudrait qu’un bédouin élevé dans le puritanisme, le machisme et le mépris des femmes soit aussi entraîné que nous ? Qu’un jeune homme ayant passé sa jeunesse au milieu de sacs à patate grillagés soit capable de regarder dans les yeux une jeune occidentale au décolleté affriolant sans devenir dingo ? Qu’à peine débarqué au pays des nudistes, lui qui n’a peut-être jamais vu un corps de femme nu, il n’entre pas en rut comme un bourricot ?
On ne risque pas grand-chose à affirmer que ces bandes d’Arabes ayant tâté de la blanche libérée considèrent cette dernière ni plus ni moins comme une putain. Le problème n’est pas de savoir s’il a raison ou tort ; il a peut-être raison chez lui, en tout cas, c’est son problème, mais il a assurément tort chez nous. Ce simple bon sens commence pourtant à faire défaut et il s’élève de plus en plus de voix pour demander à ce que les efforts pour « vivre ensemble » se fassent des deux côtés. C’est le sens de l’intervention surréaliste du maire de Cologne qui a demandé aux femmes de sa commune d’adapter leur comportement à la situation. Face aux immigrés, la mauvaise conscience de l’élite européenne peut décidément nous mener très loin. Car si l’on va dans ce sens, il n’existe qu’une seule manière de ne pas exciter ces messieurs du désert : recouvrir nos femmes de voiles et de burqas.
AVIS IMPORTANT A NOS FIDELES LECTEURS QUI ACHETAIENT EN KIOSQUES
Pour préserver la pérennité de votre journal nous avons pris la décision de nous retirer des kiosques et magasins de presse depuis le numéro 2931 du 17 juillet 2019. Nous comprenons bien, dans un monde idéal, la liberté de l’acheteur au numéro, mais cette décision, ici et maintenant, est essentielle pour la survie du titre. Il faut VOUS ABONNER.
Par le site ou chèque à l'ordre de ASM. A envoyer à : SCI BP 20017 - 49260 MONTREUIL-BELLAY PDC 1
Vous pouvez également vous abonner par PRELEVEMENT MENSUEL pour 13 euros.
Pour cela il convient de nous envoyer votre RIB ainsi que vos coordonnées postales par mail ou par courrier.