L'attentat commis dans la nuit de mercredi à jeudi contre l'immeuble abritant le QG de campagne de Marine Le Pen montre, une fois de plus, la dangerosité des activistes d'extrême gauche et leur profond mépris de la démocratie.
L'ironie dont a jugé utile de faire preuve la porte-parole de Philippe Poutou ne fait que renforcer l'abjection dans laquelle baigne cette campagne présidentielle. Elle est à l'image du quinquennat finissant, qui a sciemment laissé se développer des milices gauchistes comme autant de supplétifs plutôt que de les éradiquer.
Minute, le journal le plus plastiqué de France, apporte son entière solidarité à Marine Le Pen et à son équipe de campagne, et demande au ministre de l'Intérieur de prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer leur sécurité.
Le 23 avril, le choix sera simple : il sera entre la poursuite de la chienlit, représentée par tous les candidats se réclamant de la gauche et de l'extrême gauche, et le rétablissement de l'ordre, qui passe par une rupture radicale avec toutes les idéologies dites « progressistes » qui nous conduisent chaque jour un peu plus vers la barbarie.
Jean-Marie Molitor
Directeur de Minute