On nous promettait une arrivée massive de médecins, de futurs chercheurs et même de prix Nobel. Pour le moment, les migrants qui font parler d’eux sont quand même plutôt les violeurs et les djihadistes. L’ampleur des agressions du 31 décembre un peu partout en Europe dit soudain crûment les choses quant à la grande désinvolture du suicide européen. L’assaillant du commissariat de Barbès est devenu un beau symbole de l’idéologie « Wilcomen » : réfugié dans un camp allemand, il s’est livré à des agressions sexuelles avant de venir attaquer des policiers à la machette au nom de Daech. Bien entendu, je ne nie pas que si on lui avait laissé toutes ses chances, il eût entamé sur le tard des études de physique nucléaire pour décrocher le fameux Nobel aux alentours de 2 035 mais enfin, pour le moment, « la réalité correspond exactement au discours de l’extrême droite », comme le dit Claude Askolovitch himself.
Après Cologne, les langues se sont déliées partout, la cocotte-minute s’est mise à siffler. On peut continuer à accuser cette vilaine « extrême droite » de complotisme et de paranoïa aiguë, il n’empêche que seuls les médias catalogués ainsi de manière infamante relayent depuis des mois les nombreux viols d’indigènes par des allogènes et leur occultation systématique par les grands médias européens, et, pire, par les polices des pays concernés. La suédoise l’a reconnu officiellement : sur ordre, elle a sciemment masqué l’ampleur du désastre « pour ne pas donner d’arguments aux populistes », et sans que personne ne se scandalise plus que ça (imaginez pour rire qu’elle ait caché un crime raciste). Autre temps, autre mœurs : les flics cachaient naguère leur bavure, ils cachent à présent les crimes qu’ils sont censés combattre. Orwell n’a jamais été aussi proche.
En attendant, le 31 décembre ne semble être que le paroxysme d’un phénomène qui n’est pas de l’ordre du dérapage ni même du simple choc culturel ainsi que le pensait votre chroniqueur préféré la semaine dernière, mais qui ressemble davantage à une résurgence des raids barbaresques de naguère, à ceci près qu’aux XVIe et XVIIe siècles, ces raids venaient de l’extérieur et qu’ils viennent aujourd’hui de l’intérieur. Bartolomé et Lucile Bennassar avaient écrit en leur temps un très beau livre sur ce sujet, Les Chrétiens d’Allah (Perrin, 1 989).
Ainsi, l’idée qui commence à germer dans la tête des bisounours agitant leurs pancartes est que ces centaines de milliers d’immigrés ne viennent peut-être pas en amis. Ce serait évidemment une humiliation pour la pensée universelle mais il est également possible qu’ils ne veuillent pas du tout adopter notre mode de vie mais au contraire conserver le leur. Faisons confiance aux quarante ans de crasse médiatique répandue par couches successives dans les esprits pour hasarder que quand ces idées seront tout à fait mûres, elles ne serviront plus à rien car il sera trop tard. Bah, ils s’intègreront avec le temps, disent les paresseux. Il suffit pourtant de regarder autour de soi pour voir que des immigrés plus ou moins intégrés ont donné des enfants, et parfois des petits-enfants, totalement désintégrés, au point de se retourner contre nous. En Allemagne, la situation est la même avec les Turcs qui, après deux ou trois générations, pratiquent toujours le crime d’honneur de leur culture d’origine.
Même le très libéral « New York Times » s’inquiète désormais de l’avenir immédiat de l’Europe, qui, avec cette nouvelle phase d’immigration sauvage, entre dans « des territoires inconnus ». Dans un éditorial du 9 janvier, Ross Douthat faisait remarquer que « pour l’Allemagne, le chiffre important n’est pas la population totale (82 millions en 2 013) mais le chiffre de la frange des 20/30 ans, moins de dix millions en 2013, et encore ce chiffre prend-il déjà en compte de nombreux immigrés ». Les nouveaux arrivants étant jeunes, le journaliste estime qu’à ce rythme d’entrée, il suffira de quelques années pour que la moitié des habitants de moins de 40 ans vivant en Allemagne soit originaire d’Afrique et du Moyen-Orient. Ils tenteront alors d’imposer leur mode de vie et leurs croyances, sans parler de la lutte ancestrale pour la possession des femmes, et les Allemands n’auront le choix qu’entre la soumission et la guerre (les paris sont ouverts).
Les viols du 31 décembre ont également prouvé l’incompatibilité totale et définitive entre l’antiracisme et le féminisme.
Face au phénomène le plus phallocrate qui soit, la plupart des féministes qui traquent sans relâche la main (blanche) aux fesses dans les entreprises se sont en effet mises à siffloter et à regarder ailleurs. « Ceux qui me disent que les agressions sexuelles en Allgne (sic) sont dues à l’arrivée des migrants : allez déverser votre merde raciste ailleurs », a tweeté Caroline De Haas, cofondatrice d’« Osez le féminisme ! » et ex-collaboratrice de Najat Vallaud-Belkacem.
Face à un peuple à ce point désarmé, la conquête va bientôt ressembler à une promenade de santé.
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