Car comme chacun le sait l’Histoire est écrite par les plus puissants et les vainqueurs qui masquent leurs turpitudes et leurs crimes –dont celui de Katyn, attribué pendant 50 ans aux Allemands par les juges du Tribunal de Nuremberg, alors que c’était bien les troupes de l’URSS qui étaient coupables- afin de salir encore plus les vaincus. Contrairement à ce que les gouvernements tentent de nous faire croire, le Bien n’est pas forcément où l’on pense et le Mal souvent très éloigné de ce que l’on veut bien nous montrer.
Il y a déjà 75 ans !
Deux hommes sont à la manœuvre. Joachim VON RIBBENTROP, Ministre des Affaires Etrangères du 3ème Reich allemand, de 1938 à 1945. Le tribunal de Nuremberg le condamna à mort et il fut pendu en 1946. Viatcheslav Mikhaïlovitch SKRIABINE dit MOLOTOV, Commissaire du peuple aux Affaires Etrangères soviétiques de 1939 à 1949, puis de 1953 à 1956. Fidèle de Staline, il fut écarté du pouvoir en 1957 pour avoir voulu éliminer Nikita Khrouchtchev (autre grand humaniste). Il meurt dans son lit en 1986, à l’âge de 96 ans.
Le 23 août 1939, ils signent à Moscou le traité de non agression conclu entre l’Allemagne et l’URSS, dont une annexe prévoit le partage de la Pologne.
La mémoire à l’endroit.
Et pendant plus de sept décennies, aucun prof d’Histoire, de Lille à Nice ou de Colmar à Biarritz, n’a jamais appris à ses élèves que le 24 août 1939 le quotidien « L’Humanité » salue dans ce pacte « une politique à la fois énergique et intelligente, seule conforme à la cause de la paix… ».
Mais le 26 septembre 1939, le PCF est dissous par le gouvernement.
Le 28 septembre, un nouveau traité est signé entre l’Allemagne et l’URSS, après l’invasion de la Pologne, « traité d’amitié et de délimitation des frontières » qui permet ainsi à Moscou et à Berlin de resserrer leurs liens politiques et économiques. Le 1er octobre, Jacques DUCLOS, premier secrétaire du PCF écrit à Edouard HERRIOT, président de l’Assemblée nationale, pour exiger l’ouverture de négociations de paix avec l’Allemagne.Le 4 octobre, c’est Maurice THOREZ, numéro 1 du PCF qui déserte sa compagnie pour s’enfuir à Bruxelles, avant de s’installer à Moscou jusqu’en août 1944.
Mois après mois, les communistes français et leurs complices en Italie, ou en Belgique ont été, au début de la seconde guerre mondiale les véritables collaborateurs du 3ème Reich. Du haut en bas de la hiérarchie du PCF, c’est avec conviction et allégresse que les militants appelaient au défaitisme et à la désertion. Dans les usines d’armement, les communistes et leurs complices sabotent le matériel ce qui contribuera à tuer d’innombrables compatriotes en mai 1940.
« Non à la guerre impérialiste », et « Contre les impérialistes de Londres et de Paris » peut-on lire dans la prose clandestine de l’Humanité.
Le 18 juin 1940, la direction clandestine du Parti Communiste Français a très clairement défini sa position : du côté de l’alliance Hitler-Staline ! Le 14 juillet 1940, on peut lire dans le quotidien communiste interdit, l’Humanité : « Au sujet de la fraternité franco-allemande, les conversations amicales entre travailleurs parisiens et soldats allemands se multiplient. Nous en sommes heureux ! ».
OUI, les communistes français (et européens) ont été les premiers collaborateurs avec l’Allemagne nationale-socialiste, aidés par les valets de la finance apatride, et ce, jusqu’au 22 juin 1941 – soit pendant presque 2 ans – ils ont encouragé et soutenu la politique menée par Adolf Hitler.
Aujourd’hui, les marxistes et leurs alliés peuvent tout juste « fermer leur gu..le », arrêter de nous donner des leçons de civisme ou de patriotisme et retourner dans les poubelles de l’Histoire ! Crapules !
Pieter KERSTENS