« Il n’aurait pas voulu vivre comme ça… » Combien de fois n’a-t-on entendu ces mots de justification de la mise à mort de Vincent Lambert ? Pourtant, aujourd’hui, la question qui se pose de manière beaucoup plus lancinante est celle-ci : aurait-il voulu mourir comme ça ? Qui pourrait donc bien vouloir mourir comme ça ?